Étiquette : featured

  • The Jazz Diplomates

    The Jazz Diplomates

    The Jazz Diplomates
    The Jazz Diplomates

    Quatre musiciens forment ce groupe de Jazz, ils font  partie des Marines Américains.  Ils sont membres d’Us Navy Band, un groupe déjà venu à Madagascar dans le cadre du Festival Madajazzcar.

    The Jazz Diplomates est composé de :

    • Everett Cencich au tenor saxophone
    • Colin Greggs à la guitare
    • John Parris à la basse
    • Dave Ward à la batterie
  • Kaylene Peoples (Etats Unis)

    Kaylene Peoples (Etats Unis)

    Kaylene Peoples est une chanteuse avec une gamme de 5 octaves, une multi-instrumentiste et un compositeur, arrangeur et chef d’orchestre.

     

    Kaylene est diplômée de l’Université de Californie à Los Angeles, dans la composition et l’ethnomusicologie, et a complété un programme de maîtrise en Film Scoring sous la direction du compositeur Walter Scharf.

    Elle a également servi de mentor avec David Raksin et Henry Mancini, gagnants de l’Academy Awards; et a même joué avec le compositeur Jerry Goldsmith.

     

    Kaylene a écrit et réalisé d’innombrables arrangements pour des maisons de disques, notamment Capitol Records, Polygram, Warner Bros., EMI et Universal.

    Elle a écrit de nombreuses œuvres musicales comme des symphonies néo-classique, elle a également composé et dirigé intitulé Apocalitica.

     

    On peut également entendre sa signature sur plusieurs pistes sonores de films tels American Pie 2, Serendipity, Ruby, ou même sur son propre film qu’elle a dirigé, Rédemption.

     

    Son premier CD « Jazzed Up! » fait sensation à travers la nation lorsque son single, « Do You Remember, » a été joué à travers le pays. Le single a grimpé au sommet des charts indépendants (AC40 / NMW! Top 100 Chart / FMQB & ACQB !, et graphique Indie 100).

     

    Son dernier CD My Man fait une très forte impression sur les amateurs de jazz à travers les ondes et en concert. Depuis la sortie de My Man, Kaylene a atteint à plusieurs reprises le n°1 dans Reverbnation Jazz, et reste dans le Top 40; et de My Man, « Giant Steps » a gagné le Meilleur Jazz Song for Music Awards Akademia en Décembre à 2015.

     

     

    Discographie :

    • 2005 : All Jazzed Up!
    • 2015 : My Man

     

    Extraits de presse :

     

    -« L’album My Man de Kaylen Peoples est un roman musical diversifié. MY MAN promet de livrer la satisfaction émotionnelle dont vous rêvez en tant qu’auditeur. Il promet de réveiller l’enfant qui sommeille en vous, vous laissant échapper de la routine journalière, nous avons tout à y gagner. MY MAN est réfléchi, passionnant, inspirant et additif. De ses belles versions de « Smile (Souris) » chanté en anglais et en français pour la chanson titre « My Man » Kaylene Peoples intègredes arrangements de cordes pour amener ces ballades à la vie. » http://www.cdbaby.com/cd/kaylenepeoples6

     

    Liens :

    https://www.youtube.com/watch?v=vjxXUbm9jTU

    https://www.youtube.com/watch?v=BoBfI34Y7aI

    http://www.popnrock.org/world-music/artist/1751569/Kaylene-Peoples/

    https://musicians.allaboutjazz.com/kaylenepeoples

  • Jin Jim (Allemagne)

    Jin Jim (Allemagne)

    Jin Jim (Allemagne)
    Jin Jim (Allemagne)

    Jin Jim est un quartet allemand. Le groupe est fondé en 2013, il est composé de Daniel Manrique Smit, péruvien (flûte, alto flûte, bass flûte), John Ma, allemand (guitare électronique), Ben Tai Tranwinski, allemand (double basse) et Nico Stallman, allemand (batterie)

    Cette formation œuvre dans la musique moderne jazz-rock. Sa musique est un carrefour artistique où convergent différentes  cultures musicales. C’est un mélange de différentes musiques avec notamment du folklore balkanique, du hip hop avec une empreinte baroque.

    La diversité de leurs compositions est un véritable voyage culturel sillonnant le temps et les pays. La combinaison des talents de chaque musicien génère des rythmes les plus inédits, d’une cohérence harmonique, mélangeant à la fois puissance et finesse.

    Déjà en 2014, le groupe Jin Jim convainc le public avec son originalité  et remporte le prix du concours de jazz de la 35ème édition de la « Leverkusener Jazztage », le « Jazzpries future sounds ».

    Jin Jim sort son premier album  « Die Ankunft » en 2015, composé de 9 titres. Le groupe enchaîne les concerts dans le cadre de divers festivals comme le Festival International de jazz Viersen, le Jazz Festival de Lima Pérou et prochainement. Cette année Jin Jim fera le tour d’Afrique notamment, en Angola, en Afrique du Sud, Cameroun, à Madagascar dans le cadre du festival Madajazzcar.

     

    Discographie :

    • 2015 « Die Ankunft » Label Neuklang

    Extraits de presse :

    « La flûte traversière évoque le Pérou. La cohérence entre les instruments de chacun présente le genre de jazz-rock, sa musique est comme des  « pièces de patchwork », une combinaison d’éléments contradictoires » Janna Peterhoff

    « Jin Jim avec le son de la flûte péruvienne suit des lignes ludiques et enivrantes sans jamais perdre le fil de la mélodie et de l’histoire du morceau. »

    Leverkusener Jazztage

    « Les chansons sont comme des vagues, dans lequel des ambiances très fortes passent à celles plus douces  et moins énergiques ».

    Kölner Stadtanzeiger

    Liens :

    http://jinjim.com/

    https://www.youtube.com/watch?v=h01linhQqRo

    https://www.ticketea.com/jin-jim-moritzhof-magdeburg/

    https://www.startnext.com/jin-jim-debuet-album/blog/beitrag/?b=38503

  • Jeanot Rabeson (Madagascar)

    Jeanot Rabeson (Madagascar)

    Jeanot Rabeson (Madagascar)
    Jeanot Rabeson (Madagascar)

    Jeanot Rabeson est un nom connu dans le milieu du jazz. Pianiste soliste et Chef d’orchestre, il est né à Madagascar en 1936. Il fait partie d’une grande famille de musiciens. Pour lui, la  passion pour le jazz apparait très tôt. Dès l’âge de 8 ans, il se fait entendre sur les ondes en participant à une émission de la radio locale de la capitale de Madagascar « La Demi-heure des Amateurs ».

    Dans sa jeunesse, Jeanot Rabeson évolue auprès de ses frères Raymond et Dédé Rabeson, accompagnés par Louis Rasoanaivo, un compositeur de renom de l’époque. Il forme avec eux le groupe « Les frères Rabeson ».  Le groupe  jouait souvent à un lieu prestigieux d’Antananarivo « Le Caravelle », devenue un lieu de rencontre des Rabeson avec des musiciens étrangers. De passage à Madagascar en 1960, le roi de Maroc Hassan II apprécie le talent du pianiste et lui propose de venir au Maroc. Depuis, il participe à nombreux festivals entre autres, le festival des Antibes en 1961, puis au Festival de Marciac, de Ramatuelle, de Montauban, …

    En 1962, Jeanot Rabeson quitte Madagascar pour s’installer en France, à Paris. Les rencontres et les tournées se multiplient. Il a l’occasion de jouer avec des musiciens comme Maxim Saury, Patricia Lebeugle, Guy Laffite, ou encore le saxophoniste Michel Villers.

    En 1970, c’est à La Réunion qu’il poursuit son aventure musicale en formant un trio avec le contrebassiste Pierre Sim et son fils, le batteur Tony Rabeson. Il retourne en France en 1978.

    Le jazzman est un grand passionné, son influence est très large si on ne cite que Herbie Hancock, le célèbre pianiste et compositeur américain ou encore Chick Corea. Les influences d’Oscar Peterson ou encore de Bill Evans se laissent également entendre dans la musique de Jeanot Rabeson.

    Le pianiste enregistre son premier disque à l’âge de 64 ans « Premier rendez-vous », un accomplissement de ses années en musique jazz.

    Discographie :

    • 2007 : «  Premier Rendez-vous »

    Extraits de presse :

    « … Manifestement amoureux des grands maîtres du clavier, avec un jeu plein et extrêmement raffiné ; plein de swing, de contraste et de dynamisme, dans un style néanmoins bien personnel, Jeanot Rabeson nous entraîne dans un programme d’un goût exquis qui ne lasse pas une seconde l’attention… »

    Jean-Marc BerlièreJazz Classique

    « …Il nous gratifie d’une heure de belle musique, naturelle et élégante, émaillée de tous ses amours d’une culture qu’on sent grande. L’ensemble de ce CD est remarquable… »

    Yves SportisJazz Hot

    Liens :

    http://www.reunionnaisdumonde.com/spip.php?article13985

    http://www.jazzauxremparts.com/fr/jazzauxremparts-disques/disque/premier-rendez-vous.html

    https://www.youtube.com/watch?v=Sy3Cbn0TDhU

    https://www.youtube.com/watch?v=4jUP5NgXKPY

  • Jean-Pierre Como (France)

    Jean-Pierre Como (France)

    Jean-Pierre Como (France)
    Jean-Pierre Como (France)

    Jean Pierre Como est un pianiste français d’origine italienne né en 1963. Dès l’âge de 13 ans, il montre un intérêt particulier pour la musique jazz. Après des études classiques au conservatoire, il commence à se focaliser sur le jazz en travaillant avec d’autres musiciens, notamment avec Bernard Maury, François Couturier et Michel Sardaby. En 1983, il enregistre quelques unes de ses compositions entouré d’autres musiciens. La même année, il accompagne Zaka Percussions, Rido Bayonne et Pierre Vassiliu.

    En 1984, il rencontre Paco Sery et forment le groupe SIXUN, un groupe de jazz fusion.

    En 1989, il sort « Padre » son 1er disque en Trio avec Dominique Di Piazza (basse) et Stéphane Huchard (batterie)

    Son parcours s’est construit et nourri de rencontres et d’échanges musicaux très fructueux, entre autres : Sylvain Luc en 1990, Stefano di Battista en 1993, Emanuele Cisi et Jean-Marie Ecay en 1996, Jean-Luc Ponty en 1997, André CeccarelliDidier Lockwood en 2001, Pierre Bertrand, Paolo Fresu, Dario Deidda et Sylvain Beuf en 2006, Aldo RomanoDiego Imbert en 2007…

     

     

    Discographie :

    1989 : Padre – trio avec Dominique Di Piazza (basse) et Stéphane Huchard (Batterie)

    1992 : Solea – quintet avec Louis Winsberg (guitare), Stéphane Huchard (batterie), Riccardo del Fra (contrebasse) et Antoine Illouz (trompette), invité : Sylvain Luc

    1996 : Express Paris Roma – quintet avec Stefano di Battista (sax), Louis Winsberg (guitare), Christophe Wallemme (contrebasse) et Stéphane Huchard (batterie)

    1999 : Empreinte – sextet avec Emanuele Cisi (sax), Jean Marie Ecay (guitare), Marc Bertaux (basse), Minino Garay (percu) et Stéphane Huchard (batterie)

    2001 : Storia – trio avec André Ceccarelli (batterie), Thomas Bramerie (contrebasse)

    2003 : Scenario – quartet avec Stéphane Chausse (clarinette), André Ceccarelli (batterie), Stéphane Huchard (batterie), Christophe Wallemme (contrebasse)

    2006 : L’Ame Sœur – orchestre symphonique

    2010 : Répertoire – trio avec Aldo Romano (batterie) et Diego Imbert (contrebasse)

    2013 : Boléro – quartet avec Javier Girotto (sax), Dario Deidda (basse & contrebasse), Minino Garay (batterie & percu)

    2015: Express Europa

    Extraits de Presse :

    Les InRocks le 07/11/2015
    Une sélection de ce qu’il se fait de mieux en matière de jazz dans l’Hexagone. TOP 1 = Express Europa de Jean-Pierre Como.

    Jean-Louis Nicolaou
    « Un voyage au swing très italien, où l’on roucoule avec bonne humeur (superbes voix cousines de Hugh Coltman et Walter Ricci) et où même la mélancolie, quand elle passe, se cueille avec le sourire. A ceux qui se cramponneraient au cliché du jazz comme musique cérébrale, on recommande de s’embarquer à bord de l’Express Europa, il est empli de gaieté – sentiment précieux – et de ripailles musicales généreusement offertes par une accueillante confrérie. »

    > 4 étoiles JAZZ MAG (n° 677 – Octobre 2015)

    « C’est la présence de deux chanteurs qui singularise cet « express européen », en l’occurrence l’Italien Walter  Ricci et l’Anglais Hugh Coltman, dont le timbre unique illumine littéralement les compositions de Como…

    [Un] album de jazz raffiné, paisible, bienfaisant et profondément humain… [Dans lequel] Como donne le meilleur de lui-même. »

    Félix Marciano pour Jazz Mag

    Liens :

    http://www.jpcomo.com/index.php

    https://www.youtube.com/watch?v=cD8vCUvEAl4

    http://www.deezer.com/artist/160728

  • Hakon Storm-Mathisen (Norvège)

    Hakon Storm-Mathisen (Norvège)

    Hakon Storm-Mathisen (Norvège)
    Hakon Storm-Mathisen (Norvège)

    Hakon Storm- Mathisen est un musicien Norvégien. Il est né le 13 mars 1967 à Oslo.

     

    Connu comme guitariste de jazz, il est aussi compositeur. D’un père neuroscientifique, Jon Storm-Mathisen, Hakon Storm-Mathisen, lui se consacre entièrement à la musique.

     

    Le musicien est diplômé du programme de musique de Foss videregående skole. Il poursuivit son éducation musicale au Conservatoire Rythmique de Copenhague et travaille avec  plus grands musiciens de Jazz de Norvège, entre autres : Butch Lacy, Ole Kock-Hansen, Bob Rockwell, Atilla Engin, Jorgen Emborg, Staffan William-Olsson…

     

    Hakon Storm-Mathisen consacre sa vie à la musique en menant la carrière d’enseignant de musique à l’Académie de musique norvégienne. Il est également  chef d’orchestre et soliste de nombreux groupes comme : Bergen Big Band, Oslo Atelier Big Band, Orchestra Prime Time.

     

    Le musicien a eu une vive collaboration avec le japon via une subvention nommée « Fonds Sasakwa » qui lui permet d’y enseigner et d’effectuer des tournées en 2003, 2008, 2009 et 2012.

     

    Le musicien norvégien côtoie de nombreux musiciens de renom.  Il a formé son quartet avec Tore Brunborg (saxophone), Finn Guttormsen (basse) et Jarle Vespestad (batterie). On cite également sa formation avec les américains Jimmy Halperin et Steve Altenberg  dans le groupe Line Up.

    Depuis 2010, il déploie son talent dans le groupe Winther- Storm avec le bassiste Thomas Winther Andersen, le saxophoniste argentin Natalio Sued et le batteur néerlandais Mark Coehoorn.

     

    Parmi les artistes qui influencent ce grand musicien du Nord, il y a Lennie Tristano, Wayne Shorter, Elvin Jones, John Coltrane, Bill Evans, Wes Montgomery, George Benson, Steve Vai…

     

    Les compositions de  Hakon-Storm relèvent  un autre aspect du jazz où se démarque l’électrique, l’acoustique et le même le classique. Avec Winther Storm, sa musique véhicule une certaine  énergie, riche en fusion harmonieusement, teintée d’un air « rockish » et misée sur l’improvisation.

    Le succès de leur 2ème album « Spinnaker » est palpable puisqu’il  remporte l’Independant Music Award, catégorie Jazz Albums en juin 2013.

     

    Discographie :

     

    Album solo

    • 2001:Storm-oiseau, à Washington DC avec Jimmy Halperin, Thomas Winter Andersen & Steve Altenberg
    • 2004:Canned Second ( Curling Legs ), avec Nils Jansen, Finn Guttormsen & Jarle Vespestad , avec ses propres compositions pour la plupart
    • 2006:Matsukaze (Aim Records), au sein de Jazz Orchestra Le Livin, réalisant les compositions « Ourobouros » et « Matsukaze », avec 15 mouvements au total

    2012: Zinober ( NorCD ), en solo avec ses propres compositions

    • 2014:Fosfor (NorCD)
    • 2016:Volta Trio (NorCD)

     

    Dans «Line up»

    • 1995:Line up (NorCD)
    • 2001:à partir d’un stockage Cool (NorCD )

    Dans « Winther-Storm»

    • 2010:Patchwork (NorCD )
    • 2012:Spinnaker (NorCD )

     

    Extraits presse :

     

    « Dans Patchworks, il fusionne ballades, riffs ainsi qu’une intense improvisation sur des accords de jazz entrecoupées de lignes lyriques dans une expression rythmique rafraîchissante. Musiciens flexibilité et voix individuelles donnent à ce projet, un ensemble distinctif et l’individualité dans la structure et le son »

    Radio Ludo

    Liens :

     

    http://www.twandersen.com

    http://www.stormjazz.com

    http://nmh.no/en/about_nmh/staff/hakon-storm-mathisen

    https://www.youtube.com/watch?v=Dr8IQ9PfiWQ

  • Guillaume Perret (France)

    Guillaume Perret (France)

    Guillaume Perret (France)
    Guillaume Perret (France)

    Le saxophoniste français Guillaume Perret, originaire de la région d’Annecy, est né le 21 juin 1980. Après un Baccalauréat  section littéraire option musique en 1999, il enchaîne les formations dans le monde  du jazz et musiques actuelles en se perfectionnant au saxophone classique.

    Guillaume Perret est un musicien passionné, ayant une autre vision particulière du jazz, qui prône l’ouverture et la liberté. Sa détermination lui a permis d’accumuler plusieurs prix de conservatoire en classique et en jazz.

    Son premier album avec le groupe The Electric Epic, sorti en 2012 est un véritable succès. Toujours avec ce même  groupe, son 2ème opus « Doors EP » fait son apparition en 2013 puis en 2014, « Open Me ». Cet album présente des airs encore plus innovants, qui se caractérisent par des textures sonores illustrant un voyage musical.

    En solo ou en collectif, il développe une musique jazz marquée par une véritable fraicheur. Sa musique est visiblement indéfinissable et véhicule la liberté. Le résultat semble être abstrait et même post-psychédélique, où le jazz fusionne avec le funk, le rock et le classique avec des rythmes africains. Avec son saxophone électrique, il peut en jouer comme de différents instruments :  percussion, grosse caisse, caisse claire, basse, guitare, synthé, choeur…

     

    C’est d’ailleurs sur cette conception du jazz hors du commun et cultivant l’esprit de liberté qu’il prépare un album solo intitulé « Free » qui sortira prochaînement..

    A travers son parcours, le saxophoniste multiplie les collaborations avec des musiciens de renom  notamment, Sangoma Everett, Claude Tchamitchian, Loïc Pontieux, Hadrien Féraud, Mokthar Samba, Laurent Vernerey, Linley Marthe, Benjamin Henocq, Damien Schmidt, Santi Di Briano, Brian Jackson, Moncef Genoud, Nguyên Lê, Jérôme Regard, Francis Coletta, Marc Erbetta, Flavio Boltro, Marcello Julliani, Malcolm Braff, François Lindemann, Kalifa Diarra Coulibaly, Rémi Vignolo, Miles Okasaki, Damion Reid, Eble Prashadgosh.

    Discographie :

    • 2012 : Guillaume Perret & The Electric Epic (Tzadik)
    • 2013 : Doors E.P.
    • 2014 : Open Me  (Kakoum! Records)

     

    Extraits de Presse:

    « Le saxophoniste Guillaume Perret ouvre son cœur et son âme en grand et nous embarque dans un voyage émotionnel intense et unique. Il propose un son unique et identifiable comme pouvaient le créer les formations emblématiques du rock psychédélique et progressif »

    Festival Détours de Label 2016

    « Si l’on accole généralement à Guillaume Perret l’étiquette jazz, sa musique sollicite toutefois un grand nombre d’influences : contrepoint baroque, électro-funk, musiques africaines, rock, métal, etc… Chargées d’influences savantes et laissant une large place aux sonorités psychédéliques, elles ne sont pas sans rappeler les musiques progressives les plus sophistiquées des années 1970 »

    France Inter

     

    Liens:

    http://guillaume-perret.fr

    https://www.youtube.com/watch?v=3qWjdwTRPZo

    http://www.citizenjazz.com/Guillaume-Perret-The-Electric-Epic-3470733.html

  • Francis Lockwood (France)

    Francis Lockwood (France)

    Francis Lockwood (France)
    Francis Lockwood (France)

    Né en 1952 à Calais, France. Le pianiste de jazz français a grandit dans une famille d’artistes, un père professeur de violon, une mère peintre amateur, un frère violoniste : Didier Lockwood.

    A 17 ans, il obtient son premier prix de violon alto au Conservatoire de Calais mais le piano l’intéresse davantage et il se lance dans cette voie. Au début, il forge son talent en intégrant des groupes plutôt de tendance rock puis des groupes de jazz.

    Il rejoint son frère Didier Lockwood, en 1976 dans le groupe Surya et forme avec lui le Didier Lockwood Group. Ils parcourent l’Extrême-Orient de 1980 à 1983. Il forme également un trio avec Sylvin Marc et Aldo Romano qui  réalise une tournée en Amérique du Sud.

    En 1987, il est classé parmi les 5 plus grands pianistes européens par Jazz Hot.

    Dans sa carrière musicale, Francis Lockwood collabore avec nombreux musiciens. Parmi eux : Gilles naturel, Simon Goubert, Christian Vander, Alby Cullaz, Bruno Micheli, Etienne Klein, Michel Jonasz, Christian Escoudé, Tony Williams, … Des enregistrements sont nés de ces collaborations mais c’est en 1988 qu’il sort un album « Nostalgia ».

    Le pianiste de jazz se laisse emporter par son admiration pour le grand guitariste Jimi Hendrix et produit un album en son hommage en 1998 « Jimi’s Color ». Il réalise des concerts avec le «Tribute to Jimi Hendrix en 2011 en compagnie de Frédéric Sicart à la batterie et Dominique Di Piazza à la basse. On note également parmi ces influences, Bob Dylan, Cream, le groupe de rock britannique et il s’inspire même dans le répertoire classique de Jean-Sébastien Bach.

    Discographie :

    • 1981: « Debbi » (America Records)
    • 1983: « Home Sweet Home » ( JMS)
    • 1988: « Nostalgia » (Kids Record)
    • 1998: « Jimi’s Color » (IUS)
    • 2002: « Piano Lune » (Vox Terrae)

    Extraits de presse:

    « Le phrasé lyrique du pianiste n’essaie pas de transposer au clavier les éblouissements électriques et les entrelacs psychédéliques de la guitare, mais rend la matière vierge des mélodies dans leur dépouillement, sans la pyrotechnie de la fée électricité »

    Sylvain SICLIER, JAZZMAN

    « Francis Lockwood est capable de traverser les frontières, comme le démontrent ses disques hommages qui vont de Jean-Sébastien Bach à Jimi Hendrix »

    Action Jazz

    Liens :

    https://www.youtube.com/watch?v=_PLN4P_QbR8

    https://www.youtube.com/watch?v=_Mr5JtBBB9A

  • Ella Rabeson (Madagascar)

    Ella Rabeson (Madagascar)

    Ella Rabeson (Madagascar)
    Ella Rabeson (Madagascar)

    Ella Rabeson est née en 1970 à La Réunion. Issue d’une famille de musiciens, la musique coule dans ses veines. Son père est le célèbre pianiste de jazz Jeanot Rabeson et sa mère, la chanteuse Lalao Rabeson, son nom est d’ailleurs, un hommage à Ella Fitzgerald, une chanteuse de jazz américaine. Ella Rabeson est  naturellement devenue une chanteuse interprète accomplie de jazz.

    Très jeune, Ella Rabeson fait ses preuves.  Accompagnée de sa famille de musiciens, elle enregistre son premier disque à 6 ans. Pendant son adolescence, elle participe déjà à de nombreuses manifestations culturelles et enchaine les tournées.

    En 1990, elle décide de se consacrer entièrement au jazz et se perfectionne en rejoignant différentes formations de renom comme  le Duo ou encore le Big Band. A part le cercle familial, Ella Rabeson collabore avec des talentueux musiciens internationaux.

    Ella Rabeson quartet a vu le jour en 1996 avec Lionel Beché, à la batterie et percussions, Guillaume Dahan à la basse et son père, Jeannot Rabeson au piano. Le quartet interprète des standards du Great American Songbook dans le respect de la tradition et sort son premier album en 1999. Le répertoire varie de G. Gershwin, C. Porter, J. Kern à C. Basie et D. Ellington… du swing, du blues à la bossa nova.

    La chanteuse de jazz est connue pour l’authenticité de sa voix. Tout comme sa mère, elle déborde d’émotion dans ses prestations.

    Discographie :

    ·         1999 « Ella RABESON quartet »

    Extraits de presse :

    « …Si la musique coule dans ses veines, c’est par la voix qu’elle choisira de la chanter… » »…elle proposera un best of très swing le tout mis en lumière par sa voix jazzy et satinée… »

    Jazz aux remparts 

    « Une passion qu’elle exprime sur scène avec talent…Même sous une pluie battante,  les spectateurs séduits sont restés pour l’applaudir… »

    La Dépêche du Midi (Jazz Montauban)

    Liens :

    http://ellarabeson.wix.com/

    http://www.concerts.fr/Biographie/ella-rabeson-quartet

    https://www.youtube.com/watch?v=o3lXjYmPs-8

  • D’ Gary (Madagascar)

    D’ Gary (Madagascar)

    D’ Gary (Madagascar)
    D’ Gary (Madagascar)

    D’Gary, de son vrai nom Ernest Randrianasolo est un guitariste malgache, originaire du Sud de la Grande île. Né le 22 octobre 1961, le musicien découvre la musique tôt dans l’enfance, influencé par un frère bassiste. Comme un jeu, sa curiosité l’amène à fabriquer lui-même sa guitare de façon artisanale et interprète des morceaux de Tsapiky, rythme typique de sa région. A l’ époque, il s’est également familiarisé avec la guitare électrique grâce à un copain de classe qui en possédait. Aux funérailles de son père, il  est de plus en plus attiré par rythme  traditionnel du Sud du pays.

    Il fait ses débuts à l’occasion des fêtes comme les mariages où il joue en solo le Tsapiky. Il est vite devenu une star locale et s’est fait rapidement repéré par la maison Discomad (Mars) en 1979 qui lui propose d’enregistrer un 45 tours.

    Une fois dans la capitale, ses relations avec d’autres musiciens se tissent petit à petit et l’entraine dans le groupe Feon’ala en tant que guitariste. Depuis, il est devenu un musicien mercenaire et sillonne le pays.

    La passion de D’Gary le pousse à travailler sa propre musique et à faire des recherches en matière de styles mais également en terme d’instruments, en reprenant toujours racine dans sa musique d’origine. Il développe essentiellement l’« Open tunning », basé sur différentes techniques d’accordage qui donne un aspect particulier au son de sa guitare, on croit entre tantôt de la Marovany, une sorte de cithare, tantôt du violon traditionnel malgache, le lokanga.

    Soutenu par son frère qui le conseil de travailler son propre style, D’Gary forme son premier groupe « Iraiky ny vavarano » en 1989. Une collaboration avec le CGM a vu le jour, ce qui lui permet de produire l’album « Garry » dont plusieurs morceaux s’affichent sur la compilation « Musiques de Madagascar » en France, en 1992.

    En 1991, deux guitaristes américains David Lindley et Henry Kaiser repèrent le talent du guitariste. Un album est né de cette rencontre « Malagasy guitar » en 1993, que D’Gary a réalisé avec Dama du groupe Mahaleo. Depuis cette production internationale, le guitariste va à la rencontre d’autres musiciens du monde qui lui ouvre encore plus d’opportunités de promouvoir sa musique.

    Discographie :

    • 1993 « Malagasy Guitar»  (Shanachie)
    • 1994 « The Long Way Home» (Shanachie)
    • 1996 « Horombe »(avec Jihe) (Stern’s)
    • 1997 « Mbo Loza » (Indigo)
    • 2002 « Akata Meso » (Indigo)

     

    Extraits de presse :

    « Son jeu mélange les musiques du sud de Madagascar d’où il est originaire et où il a grandit, avec cette façon de désaccorder ou plutôt de réaccorder sa guitare de dizaines de façon différentes, pour retrouver l’âme des instruments traditionnels »

    Bilal Tarbey 

    « Sa singularité réside non seulement dans le jeu mais aussi dans la forme de sa musique. D’autres éléments s’ajoutent à cela : l’orchestration et la voix. La rythmique de  son hochet a un effet à deux sens; elle évoque parfois le Sud-Ouest de Madagascar, mais assure en même temps une sorte d’esthétique de contraste, surtout quand le guitariste joue des motifs occidentaux. Les expressions vocales gardent la chaleur et le timbre de la terre d’origine. (…) »

    Echos du Capricorne

    Liens :

    http://www.rfi.fr/emission/

    http://musique.rfi.fr/artiste-musiques-monde-dgary

    https://www.youtube.com/watch?v=ul3p15TqhHA

    https://www.youtube.com/watch?v=AmBz5uxGk-Q

    http://echoscapricorne.perso.neuf.fr/

  • Christoph Hegi (Suisse)

    Christoph Hegi (Suisse)

    Christoph Hegi (Suisse)
    Christoph Hegi (Suisse)

    Le pianiste Suisse Christoph Hegi est né à Muri en 1963. En 1974, il suit ses premières leçons de piano. Attiré par le Jazz, il se lance en autodidacte  et très vite, il devient leader du groupe « Tschapsmusik » en 1977. Le même groupe devient un peu plus tard « Tin Roof Jazz Orchestra ».

    Christoph Hegi met son talent au service de l’éducation. Il enseigne et partage son savoir faire du jazz pour des étudiants de Dättwil, en mettant en scène des spectacles de musique. Entre temps, il rejoint nombreuses formations en tant que pianiste ou chef d’orchestre ou encore maître de cérémonie, comme  « Flatfoot Jazz Club »  et rejoint également des troupes de théâtres.

    Son parcours lui permet de multiplier les rencontres. En 2002, il fait la rencontre de Kristina Tajsic et forme avec elle le duo « Voice Meets piano » en 2003, un véritable succès qui leur ouvre des portes dans le milieu du jazz.

    « Voice Meets Piano» explore et révise un répertoire glamour du swing et du Jazz américain des années 20, 40 et 50, notamment, des morceaux d’Ella Fitzgerald et Nat King Cole, Sarah Vaughan, Doris Day, Marilyn Monroe. La voix à timbre chaud de la chanteuse et le talent du pianiste forment une belle harmonie et à leur prestation. Ils sont parfois accompagnés d’autres musiciens à vent, ce qui donne des airs harmonieusement jazzy à leur playliste.

    Discographies:

    • 2004: « Voice Meets piano »
    • 2006: « Heads-up»
    • 2008: « Voice Meets Piano», «Swinging Christmas»

    Extraits de presse:

    « Le pianiste Christoph Hegi a accompagné son partenaire musical avec certitude instinctive et de tact absolu. Il est admirable comment ces deux jeunes musiciens qui joue des mélodies de l’ancienne génération avec une fraîcheur et naturalité, comme si elles étaient d’actualité ».

     Ernst Leibundgut

    « Un voyage nostalgique à l’ère du swing dans une ambiance de musique bien insouciante des normes de soi-disant âge d’or »

    Heinz Abegglen

    Liens:

    http://voicemeetspiano.com/cd/index.htm

    http://www.radioswissjazz.ch/

    www.alivesaxtett.ch

  • Bunny Brunel (Etats-Unis)

    Bunny Brunel (Etats-Unis)

    Bunny Brunel (Etats-Unis)
    Bunny Brunel (Etats-Unis)

    Bernard « Bunny »Brunel est un bassiste américain né le 2 Mars 1950 à Nice. Il est connu pour avoir joué avec de grands artistes musiciens et chanteurs tels Chick Corea, Herbie Hancock, Wayne Shorter, Tony Williams , Jack Dejohnette, Al Jarreau, Natalie Cole, Stevie Wonder, Stanley Clarke, Dizzy Gillespie, Ziggy Marley, Gloria Estefan, Larry Coryell, Al Di Meola, Mike Stern, Joe Farrell, Michel Polnareff et beaucoup d’autres.

    Outre son travail d’interprète, il travaille aussi comme compositeur, arrangeur, producteur et concepteur. En tant que compositeur de son groupe, il collabore avec Clint Eastwood dans la création de la musique du film « The Unforgiven ». Il travaille également sur plusieurs émissions de télévision, y compris la série « Highlander ».

    En 2007, Bunny Brunel est le directeur musical et le bassiste de l’un des plus grands concerts de Michel Polnareff  « Ze Tour », un concert qui a réuni plus de 3 millions de personnes. Cette production a reçu la « Victoire de la Musique » (l’équivalent du Grammy en France) pour la meilleure performance live.

    Bunny Brunel sort de nombreux albums en solo; Touch, Ivanhoe, Mometum, Dedication, You To Play For, LA Zoo. Il se produit avec le groupe CAB composé de Tony MacAlpine, Virgil Donati, Brian Auger, Patrice Rushen et Dennis Chambers. Le groupe sort ainsi 4 albums CAB, CAB2, CAB4, CAB Live et le « Théâtre de Marionnettes ». CAB2 a reçu un Grammy Nomination pour le « Meilleur album de jazz contemporain. »

    En tant que concepteur, Bunny Brunel crée également une ligne de guitares basses électriques et de contrebasses.

    Portant un grand intérêt pour les jeunes joueurs de basse, Bunny Brunel donne régulièrement des séminaires sur son approche unique de l’instrument. Il a écrit plusieurs ouvrages et sorti des DVD d’apprentissage de la basse.

    Discographie :

    • Touch(1979)
    • Ivanhoe(1980)
    • Momentum(1996)
    • Brunel’s LA Zoo(1998)
    • Dedication(1993)
    • For You to Play(1994)
    • LA Zoo Revisited(2005)
    • Café Au Lait(2005)
    • CAB(2000)
    • CAB 2(2001)
    • CAB 4(2003)
    • CAB Live At The Baked Potato(2006)
    • Théâtre de Marionnettes(2009)
    • CAB Live On Sunset(2011) CD & DVD

    Extraits de presse :

    – « Je n’ai connu que quatre vrais grands bassistes : Jaco Pastorius, Jeff Berlin, Stanley Clarke et Bunny Brunel » Patrick Moraz dans Yes and Moody Blues 1978

    – « … Hier soir au Baked Potato Jazz Club North Hollywood, je suis allée écouter CAB. Le voyage a été tellement rapide et sauvagement rythmique, chaque musicien a propulsé un joint d’énergie si puissant que le toit du bâtiment a même failli s’effondrer. Le Jazz quintet qui a joué CAB, dirigé par le bassiste Bunny Brunel et guitariste virtuose Tony MacAlpine, a alimenté le public d’une haute vivacité musicale. Plus personne ne voudra boire du café après cette vive performance … » Sheryl Aronson  dans Hollywood Times 19/11/14

     

    Liens :

    http://www.bunnybrunel.com/

    https://www.youtube.com/watch?v=wwz5bV_eM0Q

    https://www.youtube.com/watch?v=QVrU4zJu8Cc

  • Baptiste Herbin (France)

    Baptiste Herbin (France)

    Baptiste Herbin (France)
    Baptiste Herbin (France)

    Baptiste Herbin est un jeune saxophoniste français, né à Chartres le 17 Août en 1985. Depuis son enfance, il baigne dans l’univers de la culture et de la musique. Avec un père sculpteur-scénographe, amateur de musique classique et de jazz, une mère qui joue la guitare classique et un frère pianiste, le jeune Baptiste Herbin s’initie au saxophone à 4 ans.

    Il effectue des études classiques. A l’âge de 15 ans il décide d’œuvrer dans le jazz et entre au conservatoire de Paris. Il poursuit ses études au CNSM dans la classe de Jazz de Riccardo Del Fra.

    En 2010, il fait la rencontre  d’André Ceccarelli, le batteur du groupe français  « Les Chats sauvages » au Duc de Lombard dans le cadre d’une résidence. Il enregistre ainsi son premier album en quartet « Brother Stoon »  avec Pierre de Bethmann (piano), Sylvain Romano (contrebasse) et Jean Toussaint (saxo tenor). Pour présenter ce 1er album, il fait la première partie de Dionne Warwick en 2012 à l’Olympia, la prestation est un vif succès.  Avec le disque, il est  nommé aux Victoires du jazz en 2013.

    Son deuxième disque en quintet, « Interférences » sort en 2015, avec Benjamin Henocq, Maxime Fougères, Sylvain Romano et Renaud Gensane.

    Sa musique comprend des influences de Charlie Parker, Cannonball Adderley, Ornette Coleman, Maceo Parker, John Coltrane,  de la musique malgache, mais aussi du classique comme Debussy, Ravel et Bach. C’une invitation à l’évasion, un subtile mélange éclectique, parfois avec un rythme be bop et afro.

    Baptiste est enseignant, il donne des masters class dans le monde entier. Sa relation internationale lui permet de jouer avec les plus grands musiciens comme  Glenn Ferris, Alain Jean-Marie, Ralph Bowen, Donald Brown, Kenny Garrett, Gary Smulyan, Marcus Gilmore, Stéphane Belmondo… Il accompagne actuellement Charles Aznavour.

    Discographie :

    • 2010 : «  Brother Stoon »
    • 2015 : « Interférences »

    Extraits de presse :

    « Baptiste Herbin n’entend succéder à personne, ni à éclipser qui que se soit, simplement jouer mieux que tous et que lui-même »

    Michel Contat, novembre 2012

    « La beauté du son de son saxophone est sans doute la première qualité qui saute à l’oreille l’étonnante volubilité et maîtrise technique de son jeu s’impose avec l’évidence simple d’un indubitable talent »

    Jean-Pierre Jackson, Classica, novembre 2012

    « Ce qui frappe avant toute chose chez ce jeune saxophoniste est sans doute sa sonorité décoiffante. Décoiffante parce que pleine et puissante. Décoiffante surtout parce qu’elle vous pénètre et vous traverse à chaque note. »

    Radio France

    Liens :

    http://www.laboitenoiredumusicien.com/le-mag/le-saxophoniste-baptiste-herbin-et-vandoren-n4493/

    http://www.baptisteherbin.com/

    https://www.youtube.com/watch?v=J8sM9BkjyAY